Pour cela, la « coalition pour les enfants affectés par le VIH » réclame que des composantes pédiatriques soient systématiquement intégrées dans les demandes de financements au Fonds mondial.
De plus, les politiques nationales et les budgets nationaux en matière de lutte contre le sida doivent intégrer ce soutien indispensable aux enfants et à leurs familles. En matière de prise en charge pédiatrique, il ne faut jamais perdre de temps, car en l’absence de traitements adaptés 50 % des enfants infectés meurent avant l’âge de deux ans. Sans une mobilisation renouvelée, il y a peu d’espoir d’atteindre l’objectif fixé par l’Onusida de l’éradication du VIH chez les enfants.